" Valorisation des données accoustiques"
Poste basé à Montéran, Saint-Claude - Guadeloupe
Les chauves-souris sont les seuls mammifères terrestres indigènes sur les Antilles françaises. On en dénombre 11 espèces en Martinique et 14 en Guadeloupe.
L’enjeu de conservation de ces espèces est donc majeur, d’autant plus que celles-ci sont exposées à de multiples menaces anthropiques, encore plus marquées sur les îles : dégradation et fragmentation de leurs habitats, braconnage, pollution lumineuse, pollution par les pesticides, prédations par des espèces exotiques envahissantes (EEE) et plus récemment, la mortalité et la perte d’habitat liées au développement de l’énergie éolienne.
Le manque de connaissances sur la répartition, le cycle de vie, les déplacements, les stratégies d’alimentation, les préférences de vol, ou plus largement les traits biologiques et écologiques des différentes espèces, constituent un véritable frein à la prise en compte des enjeux de conservation des chiroptères.
Dans le cadre d’un appel à manifestation d’intérêt (AMI) de l’Office français de la Biodiversité, le projet CHIMAGUA - Mise en place de la surveillance des chiroptères en Martinique et en Guadeloupe : état des lieux, stratégie et déploiement des suivis, a été retenu.
Il a pour ambition de renforcer et de structurer la surveillance de ce taxon de manière pérenne, en mobilisant les différentes techniques de suivi, dans le but d'améliorer les connaissances et de produire des indicateurs robustes, pour renforcer la prise en compte de ces espèces dans les plans de gestion et les politiques publiques. Le projet est piloté par le Parc naturel régional de la Martinique (PNRM), en collaboration avec le Parc national de la Guadeloupe (PNG), la DEAL Martinique, le Bureau d’étude Ardops Environnement, la SFEPM et en concertation avec un grand nombre d’acteurs œuvrant pour la protection des Chiroptères. Un soutien scientifique et méthodologique est apporté par le Muséum national d’Histoire naturelle (MNHN).
L’enjeu de conservation de ces espèces est donc majeur, d’autant plus que celles-ci sont exposées à de multiples menaces anthropiques, encore plus marquées sur les îles : dégradation et fragmentation de leurs habitats, braconnage, pollution lumineuse, pollution par les pesticides, prédations par des espèces exotiques envahissantes (EEE) et plus récemment, la mortalité et la perte d’habitat liées au développement de l’énergie éolienne.
Le manque de connaissances sur la répartition, le cycle de vie, les déplacements, les stratégies d’alimentation, les préférences de vol, ou plus largement les traits biologiques et écologiques des différentes espèces, constituent un véritable frein à la prise en compte des enjeux de conservation des chiroptères.
Dans le cadre d’un appel à manifestation d’intérêt (AMI) de l’Office français de la Biodiversité, le projet CHIMAGUA - Mise en place de la surveillance des chiroptères en Martinique et en Guadeloupe : état des lieux, stratégie et déploiement des suivis, a été retenu.
Il a pour ambition de renforcer et de structurer la surveillance de ce taxon de manière pérenne, en mobilisant les différentes techniques de suivi, dans le but d'améliorer les connaissances et de produire des indicateurs robustes, pour renforcer la prise en compte de ces espèces dans les plans de gestion et les politiques publiques. Le projet est piloté par le Parc naturel régional de la Martinique (PNRM), en collaboration avec le Parc national de la Guadeloupe (PNG), la DEAL Martinique, le Bureau d’étude Ardops Environnement, la SFEPM et en concertation avec un grand nombre d’acteurs œuvrant pour la protection des Chiroptères. Un soutien scientifique et méthodologique est apporté par le Muséum national d’Histoire naturelle (MNHN).
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A pourvoir à compter du